De l’orientation à l’entrepreneuriat
Hey hey hey !!!
Je sais comment tu attendais cet article avec impatience.
Tu sauras tout sur mon parcours professionnel.
Je te préviens, ce sera encore un article en 3 épisodes.
Parce que j’ai trop à dire sur mes rebondissements.
C’est ce qui fait celle que je suis aujourd’hui.
C’est surtout ce qui fait que BeePapillonz existe là, maintenant, tout de suite.
Je suis une fanatique de mon parcours, vraiment !
Allez, je te fais la version ultra courte.
Un job d’été, une découverte, des notions exploitées puis approfondies, un savoir-faire développé par la pratique.
Un double transition professionnelle, un besoin d’aide, une méthode créée et appliquée, un talent révélé.
Une évolution de personnalité, une répercussion professionnelle nécessaire, une envie irrésistible, un déclic puissant.
Un tournant dans ma vie, un rêve en cours de réalisation.
Tout ça t’intrigue ?
Je sais, alors assieds-toi, je te raconte !
Alors déjà, je te dois la vérité
Les textes qui suivront ont été écrits le 18 mai 2018.
Déjà 1 an et demi que j’avais quitté mon ancien métier (coucou les ex-collègues si vous lisez).
Une pause nécessaire aussi bien pour des raisons physiques que psychologique.
Dans les vidéos de novembre, je te parle de mes problèmes de genoux.
Et pour le coup, le prochain article sera une reprise d’un post Facebook.
C’est important pour moi de le partager parce que tu peux être concerné un jour.
Bien que je ne te le souhaite pas, je préfère te prévenir.
Ou c’est peut-être déjà le cas et tu pourras vérifie si tu as le bon état d’esprit pour rebondir.
Tu sais, j’aimais mon travail mais il fallait que je m’écoute (on va parler de ça aussi plus tard).
Parce que tu sais ce qui se passe quand tu n’entends pas ou n’écoute pas la petite voix de l’ange ou quand ta tête, l’univers puis le corps t’envoient des signes ou des alarmes ?
Tu as déjà entendu parler de dépression, de burn-out, de suicide ? (article à venir sur le sujet)
Le côté obscur de la vie ?
Moi aussi.
Honnêtement, je suis un peu aventurière pour prendre des risques, tester mes limites.
Mais je suis aussi très prudente.
Donc je n’avais pas envie de savoir ce qu’il se passerait si je continuais dans la direction où j’allais à ce moment-là.
En même temps, ce n’était pas la première fois que j’étais confrontée à cette voix dans ma tête quand j’y réfléchis.
C’était exactement durant mon adolescence (pas trop rebelle ceci dit).
A l’époque, je bénéficiais encore du côté innocent l’enfant et pas encore formaté comme les jeunes adultes.
Et par la suite, c’est « un je ne sais quoi » qui me guidait et me protégeait.
Un mix de foi chrétienne, d’intuition, d’ange gardien, de bonne étoile et d’instinct de survie.
Donc ce jour de mai 2018, je me suis remémorée mon parcours professionnel.
J’aime le qualifier de multi-transitionnel car j’ai toujours combiné les transitions entre elles.
Et j’ai réussi à poser des mots sur ces rebondissements.
Franchement, ça a été un vrai travail de fond pour mieux analyser de l’orientation à l’entrepreneuriat.
Tu n’imagines même pas à quel points ça a un côté libérateur de le partager avec toi.
Quelque part ce sont mes secrets que je te dévoile.
Les secrets de ma réussite à travers les années.
Voici 6 périodes de ma vie, 6 rebondissements professionnels.
Avec un peu de personnel parce que ça a beaucoup influencé mes décisions.
Ce qui suit est le texte d’origine.
Secret n°1 : on ne regrette jamais le choix du coeur
Ça y est, me voici confrontée au premier grand choix de ma vie : l’orientation.
Ce moment où au collège on te demande de choisir ton lycée.
Parce que tu vas être séparé des copains/copines puisqu’il y en a sacrément moins que les collèges et qu’il peut se trouver à perpète de chez toi selon la spécialité que tu choisis.
En vérité, on te demande THE question du début du reste de ta vie.
Tu veux faire quel métier plus tard ?
Il y en a qui savent et d’autres qui ne savent pas.
Moi je sais parfaitement.
Je sais quoi et surtout pourquoi.
Plus tard, j’ai découvert que les métiers choisis ont tissé ce que j’appelle mon fil conducteur et qu’il sera mon guide jusqu’à maintenant (et pour toujours).
Attends, regarde, je te montre ça tout de suite.
Dès la primaire, j’étais excellente en français et voulais être prof de français.
Précisément, enseigner l’orthographe, la conjugaison et la grammaire m’intéressait car ça représentait pour moi l’art de bien écrire et parler.
J’hésitais aussi avec avocate qui utilise aussi le bon français pour établir des stratégies de défense des personnes.
Je suis étonnée que ce soit aussi précis pour mon âge car ça n’a pas l’air de l’être pour les autres.
Tiens c’est étrangement ce que je désire transmettre.
Décider sa vie en faisant des choix mesurés, assurés et assumés (dixit le sous-titre sur l’entête de la page d’accueil du site).
Il n’y aurait pas un mix de prof-avocat dans ça ? (réponse dans le secret n°5).
En tout cas, tout semblait parfait car pour accéder aux 2 métiers je devais choisir un bac Littéraire.
En plus, je suis archi forte en français donc c’est dans la poche.
Sauf que non… gros hic… STOP !!!
On arrête tout, c’est du délire.
C’est même ce que je qualifie d’auto-suicide.
Je n’aime pas du tout lire, mais alors pas du tout.
Tu me vois me noyer dans les 35 bouquins à lire par an pendant 2ans ?
Et pour être avocate, tu me vois mourir étouffer dans les sables mouvants (pages) du code civil ?
Je ne sais pas pour toi, mais moi je ne me vois pas.
Ok, je vais revoir ma copie…
T’as vu le mode projet professionnel était déjà activé à l’époque.
Quand je te dis que j’ai commencé jeune et que ça fait 20 ans que je fais ça, je ne te mens pas.
C’est précisément de ce moment là que vient toute la méthodologie que j’enseigne avec BeePapillonz.
Bon, et je fais quoi maintenant ?
J’active le remue-méninge…
Ok, il y a ces 2 matières qui me passionnent.
Technologie (surtout l’électronique découvert en 5ème) et dessin.
Créer c’est mon truc, comprendre comment fonctionne les éléments et la conception électronique…
C’est juste magique.
Oui, oui, c’est bien là que je suis tombée amoureuse du pourquoi du comment qui m’obsède jusqu’à présent.
C’est vraiment paradoxal.
Moi qui détestais les maths, je prenais bizarrement un malin plaisir à calculer, mesurer.
D’ailleurs, j’ai carrément décidé que je serai ingénieur pour concevoir des solutions technologiques.
Toujours très précis et justifiés mes choix, même si je ne me souviens pas avoir eu à me défendre face aux prof et conseillers d’orientation.
Je me félicite quand je repense à ça.
Ce n’est pas pour rien que c’est devenu mon expertise (tiens, « défendre », il n’y a pas un peu du métier d’avocat dans ça ?).
Je sais, je me jette des fleurs mais, promis, je n’ai pas les chevilles qui enflent.
Mais sérieusement, si tu ne reconnaît pas tes fiertés, qui le fera pour toi ?
Donc je veux faire de l’électronique, super c’est un bac technique.
Eh bien, je crois que j’ai trouvé ma voie.
Voici ma première transition combinée : une reconversion pendant l’orientation.
Un joli premier rebondissement réussi.
Du coup, j’ai vite abandonné l’idée de me retrouver en bac Littéraire avec des millions de livres à étudier.
En plus, le technique, c’est plus facile que le général.
Parce que je ne serais certainement pas aller non plus en Scientifique avec mon niveau pourri en maths.
Non, non, on oublie les auto-suicides.
Au final, j’ai poursuivi mes études d’électronique jusqu’à… bac+3.
Tu découvriras pourquoi dans le secret n°3.
Je te laisse sur ce premier épisode pour réfléchir à :
- comment l’orientation s’est passé pour toi
- pourquoi cette décision ?
- comment tu aurais pu faire si tu as vécu « une orientation subie » (article à venir sur le sujet)
A très vite pour la suite.
BeeConnected
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