C’est complétement fou !
Depuis que j’en sais plus sur ce fameux papillon, je me sens portée par le nom et la nature de cet insecte.
Et dire que j’ai peur de la nature : les bêtes, les végétaux… AHHHH !!!
Bon, je n’ai pas peur des papillons mais, comme tout les volants, ils me font sursauter quand ils surgissent brusquement.
Oh je t’interdis de te moquer parce que je sais que je ne suis la seule à détester ça.
Arrête, tu ris, je te vois.
Y’a 1 chance sur 10 pour que tu fasses parti de ceux qui ont peur des insectes en tout cas.
Mais quand même, avoue, il n’y a pas trop de coïncidences dans mon histoire ?
Tu sais que je suis beaucoup mon intuition et je suis très attentive aux signes (à découvrir également dans un futur article).
A ce stade-là, c’était impensable que le terme papillon ne fasse partie de l’identité de mon entreprise.
D’ailleurs en parlant d’entreprise, quelques semaines plutôt, je faisais une recherche sur l’accomplissement professionnel.
Au passage, dans le prochain article, tu comprendras pourquoi c’est mon domaine de prédilection.
Et là, je tombe sur une belle comparaison des entrepreneurs avec… les abeilles ???
Décidément les insectes me poursuivent !!!
Je sais qu’il est dit que l’homme descend du singe, mais pas que apparemment.
Donc, l’abeille fait partie d’une société autonome organisée dans laquelle elle peut exercer à elle tout seule jusqu’à 7 fonctions.
« Oh ! Ah oui ! Effectivement ! C’est intéressant ça aussi ! ».
Bien qu’elle travaille en équipe elle a le pouvoir de faire les choses par elle-même si elle devait se retrouver seule.
Que de potentiel à revendre cette bébête qui pourtant me fait fuir à 100 mètres en 2 secondes quand je la vois !
Et maintenant, tu me connais avec ma curiosité.
Je ne me suis pas arrêtée là.
Parce que je crois aussi à la loi de l’attraction (oui, oui, on va en parler aussi plus tard – je l’ai déjà évoqué dans une des vidéos de novembre 2019)
En fait, je me suis demandée 2 choses :
- pourquoi il y a quelques semaines, je suis tombée sur cette histoire d’abeilles ?
- et pourquoi c’est au moment où je cherche un nom d’entreprise en urgence que ce souvenir fait surface, alors que je focalise sur le papillon ?
De là est née une troisième question.
Y aurait-il un point commun entre l’abeille et le papillon par hasard ?
Ah oui ! Oh mais oui, bien sûr que oui !
Accroche-toi bien, on repart dans de la culture !
En butinant, ces 2 insectes assurent la pollinisation.
C’est-à-dire le transport du pollen permettant la reproduction des plantes.
Une lourde responsabilité qui fait d’eux des ressources précieuses pour préserver notre écosystème.
Ah ben ça alors !
Il me semble que j’ai parlé de résurrection dans l’épisode 2 de l’article.
Tu te rappelles, c’était concernant le cycle de métamorphose du papillon.
La pollinisation… une approche très cohérente et sympathique.
Mais oh la la !
Dans quoi je me suis embarquée encore?
Il y a des jours comme ça où ton cerveau part en live et tu réfléchis trop.
Et dis-toi que tout ça s’est passé en 2h.
Après toute cette analyse, j’en ai conclu que si un animal avait un tel pouvoir inné et une telle mission importante, l’humain les possédait également en lui.
En effet, il est à la fois en constante évolution, contribue à celle du monde ainsi qu’à la construction de l’avenir.
Tout comme le papillon, l’homme connait différentes périodes de transformation.
Celles-ci sont essentiellement internes, à la fois psychique, psychologique et spirituel, mais aussi au fur et à mesure que son environnement (et la perception de celui-ci) change, aussi bien dans la vie personnelle que professionnelle.
A cette instant, je me dis « purée, t’es trop dans le délire là ».
Et pourtant, ça ressemble bien à tous mes rebondissements vécus et en même temps, ce vers quoi je veux amener mes futurs clients quand je parle de métamorphose.
On vit tous des changements profonds, des transformations, des renouvellements.
On a tous des périodes d’expansion, de transition et de croissance.
De nous-même et de notre vie de façon à être en phase avec nos besoins et valeurs personnelles.
Sauf quand on veut se conformer « aux autres », à « normalement », à « il faut que… on devrait », comme je dis sur la page d’accueil.
Bref, tout ce qui nous empêche d’être nous-même.
J’en parle aussi dans la vidéo
Et je fais quoi avec tout ça maintenant ?
Parce que ça me fais une belle jambe cette histoire d’abeille et de papillon.
Mais là ça fais un peu moche le tout ensemble.
Déjà le terme « papillon » en français ne quittait pas mon esprit.
Par contre, j’avais grosse envie d’anglais dans ma première idée de nom d’entreprise.
En français, « Devenez papillon ! » me parlait énormément.
Sauf que… mouais… je trouvais ça long et lourd.
Et en anglais ça donne quoi ?
Euh… Be butterflie?
Ah non c’est moche.
Ou alors « Be papillon» comme dirait un français qui essaie de parler anglais mais ne sait pas dire papillon en anglais !
Tiens, c’est drôle que je pense à ça, c’est exactement ce qu’on faisait comme avec ma soeur quand on était petite.
Quand on ne savait pas dire un mot en anglais, on le disait en français avec l’accent anglais.
Et on prononçait le S de fin comme un Z pour le pluriel.
Donc en suivant cette logique, ça donnait « papillonz » avec un Z comme dans « butterflies » !
Oui, je le mets au pluriel parce qu’après tout, chaque métamorphose représente une transition.
Et nous ne sommes pas à l’abri d’en connaitre plusieurs dans notre vie.
Et comme je l’ai dit le cocon de réflexion permet de passer de chenille à papillon ce qui signifie que nous sommes capable d’entreprendre en voyage sans avoir peur de faire quelque chose pour mieux repartir.
Ok, c’est cool tout ça.
Et cette abeille… tiens donc en anglais ça se dit « bee ».
Oh mais pourquoi ne pas l’intégrer étant donné son rôle d’entrepreneure.
Après tout, je le suis aussi.
Officiellement maintenant, mais depuis toujours en réalité.
Faire les choses seule, ça me connait bien.
Alors, le bilan : ça fait…BeePapillonz…
C’est pas mal finalement.
Oui, j’aime bien… j’aime beaucoup même !
Allez, je garde ça !
Yeah! Hourra! Youpi!
J’ai trouvé!
J’ai pris mon courage à 2 mains, je suis allée sur l’hébergeur du site.
J’ai vérifié que c’était bien disponible.
Purée, tu imagine si c’était déjà pris.
Tout ça de réflexion et de torture pour rien…
Bref, j’ai écris, j’avais la poitrine serrée.
J’ai regardé… j’ai validé.
Et voilà, BeePapillonZ est né.
Heureusement qu’il n’y a aucune règle pour créer un nom d’entreprise.
Car, comme tu le vois, j’ai donc invité l’expression en elle-même.
Ou du moins, je l’ai trafiqué mais elle prend tout son sens.
Et ça me tenait à coeur de partager son histoire avec toi.
BeeConnected
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